Il nous faut contempler cette dynamique propre à la révélation, comme ce qu'elle révèle à la fois de la pédagogie et de la danse trinitaire. La trace est ténue, mais elle est là. Elle s'efface et se montre, se voile et se dégage.
Quelques milliers de notes et réflexions interactives sur la vie et la foi, à partir de lectures souvent théologiques et à la lumière d'un Autre... Petit "blog" catholique d'un apprenti théologien (Bac canonique), perdu dans l'immensité de la toile... (ordonné diacre en septembre 2018)...
15 juin 2016
Le fouillis et la trace
Il nous faut contempler cette dynamique propre à la révélation, comme ce qu'elle révèle à la fois de la pédagogie et de la danse trinitaire. La trace est ténue, mais elle est là. Elle s'efface et se montre, se voile et se dégage.
14 juin 2016
Le fouillis testamentaire
La vigne de Naboth
Une tension apparaît entre le crime d'Acab, qui mérite punition aux yeux de l'auteur de 1 Rois 21 et l'appel du Christ a aimer ses ennemis (Matthieu 5). Comment la résoudre ? Nous sommes, dans le premier cas, face à la théologie de rétribution, typique de l'Ancien Testament qui punit l'homme de ses fautes et, à l'inverse, dans l'Evangile, devant l'amour miséricordieux de Dieu.
L'Ancien Testament n'apporte pas toutes les réponses et en prêtant à Dieu l'intention de punir les fils pour la faute des pères, l'auteur cherche surtout une interprétation à ses propres malheurs. Est-il lui même en exil, cherche-t-il à comprendre pourquoi il semble maudit de Dieu ? Est-ce à cause de la faute de ses pères ?
"Dieu ne veut pas la mort du pécheur mais qu'il se convertisse et qu'il vive", trouvera t'on plus loin dans l'AT (Ézékiel 33, 11). C'est la qu'est la clé de notre tension, et le psaume 50, nous indique la voix. Pitié pour nous, car nous sommes pécheurs.
Ne jugeons pas la faute d'autrui, gardons nous seulement de retomber dans la notre.
L'amour des ennemis est notre chemin, c'est celui du Christ.
12 juin 2016
Contempler la miséricorde divine
Dieu est plus grand que notre coeur et saint Paul a raison de se sentir que "ce n’est plus lui, c’est le Christ qui vit en lui. Ce qu'il vis aujourd’hui dans la chair, il le vis dans la foi au Fils de Dieu qui l’a aimé et s’est livré lui-même pour lui", comme il s'est livré pour nous. En contemplons cela, non seulement nous remettons le Christ au centre de nos vies, mais nous percevons que ce qui est bon en nous vient de Dieu.
11 juin 2016
Morphe et Logos
10 juin 2016
Au delà de la conception virginale
09 juin 2016
Contempler l'Église
08 juin 2016
Obéissance à l'Église ?
07 juin 2016
Distance et proximité de la figure - prêtre image du Christ.
06 juin 2016
Un avec lui
05 juin 2016
Adoration, manducation, action
Se diviniser ce n'est pas prendre le pouvoir, devenir Dieu, mais bien se laisser modeler par Sa faiblesse, Son humilité, Sa tendresse et Sa miséricorde.