A relire, la Croix de ce Week-end sur la souffrance des enfants et cette belle phrase citée sur cet « autre Dieu » que la protestante Marion Muller-Colard a découvert à l'âge adulte : Il n'est ni justicier (« si le mal me tombe dessus, c'est que je l'ai mérité »), ni pervers (« je n'ai pas mérité cela »). Il « compte sur chacune de nos vies pour circonscrire avec lui le chaos ».(1)
On y retrouve une préoccupation longuement évoquée dans mes travaux de 2013 et 2014(2)
(1) cité dans La Croix du 7-8/1/2017
(2) Quelle espérance pour l'homme souffrant et Où es-tu mon dieu ?
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