Dieu mets en nous l'amour comme une source, un potentiel, charge à nous de libérer cette force venue de Lui.
"Lorsque je te serai uni par tout moi-même, il n'y aura plus pour moi de douleur ni de fatigue. Ma vie, toute pleine de toi, sera vivante. Celui que tu combles, tu l'allèges, car lorsque je ne suis pas comblé par toi, je me suis à charge à moi-même." (1)
L'amour en nous est comme cette flamme fragile que nous cherchons à allumer alors que le vent de la vie nous harasse.
Elle ne cesse de s'éteindre en apparence parce que nous prenons pas le temps de rentrer en nous mêmes pour retrouver le feu de l'origine.

La flamme ne peut grandir qu'en contemplant le feu du buisson ardent, le Christ en Croix et ce qu'il révèle du Pere.
A méditer
(1) Saint Augustin, Les confessions, chapitre VIII (?)
(2) Saint Ambroise, Commentaire sur l'évangile de Luc, 2, 19-27 ; PL 15, 1559 ; SC 45 (trad. Orval rev.)
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