12 août 2007

Le connaître

Dieu est pour Henri de Lubac un « océan sans rivages » (1). Il y est donc l’infini inaccessible par excellence et pourtant le tout proche, parce qu’il a tout cédé dans le Fils. Il n’en reste pas moins que savoir que l’on ne connaît pas Dieu « représente le sommet de la connaissance humaine ».

(1) cité par Hans Urs von Balthasar, La Th. II, p. 107

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