Celui qui accueille la beauté sous tous ses modes (...) à la capacité de lire les figures comme totalités en raison de l’unité de son aperception. Il ne glane pas quelques impressions isolées mais «saisit dans un jugement intuitif, qui ne classifie pas mais unifie, des totalités dans leurs apparitions sorties de la profondeur ». Ce respect et cette reconnaissance sont « le signe d’une réalité profonde inaccessible ». (1)
(1) Hans Urs von Balthasar, Epilogue, ibid, p. 42
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