Après ma lecture des "confessions d'un cardinal" (cf. post de décembre 2013), me voici explorant avec joie, le deuxième tome : "L'espérance d'un cardinal" d'Olivier Le Gendre. Je continue à apprécier la pertinence de l'analyse de ce texte à deux voix qui me semble bien répondre à ce souci du primat de la tendresse (cf. posts précédents).
Le cardinal évoque la tenue de conciles régionaux, comme moyen d'ajuster les défis pastoraux à une réalité qui n'est pas univoque. Je ne peux que souscrire à cette idée.
Là encore, j'aimerai faire partager à ces deux co-auteurs, mes premiers balbutiements auto-publiés sous le titre "Cette église que je cherche à aimer".
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