"Si la première parole est ordonnée à l'homme en tant qu'il est créature issue de Dieu, la deuxième s'adresse personnellement à lui, enfant de Dieu enrichi de la grâce et l'appelle jusqu'au coeur de Dieu".
Pourtant précise Balthasar, "on n'a pas le droit de sauter le degré de la création pour s'occuper uniquement de la révélation de grâce par la Parole plus élevée. C'est d'abord comme créature que l'homme apprend à reconnaître comme son Seigneur le Dieu toujours plus grand et, du fait même, toujours plus caché. Ce rapport unique entre le voile et le dévoilement est inscrit dans son être même" (1)
Cette première étape me semble essentielle car elle trace les fondements d'une approche anthropologique dans la deuxième édition en préparation de ma dynamique sacramentelle. Elle rejoint ce que nous avons souligné chez Theobald.
Hans Urs von Balthasar, op Cit., Gc1 p. 380..
Pourtant précise Balthasar, "on n'a pas le droit de sauter le degré de la création pour s'occuper uniquement de la révélation de grâce par la Parole plus élevée. C'est d'abord comme créature que l'homme apprend à reconnaître comme son Seigneur le Dieu toujours plus grand et, du fait même, toujours plus caché. Ce rapport unique entre le voile et le dévoilement est inscrit dans son être même" (1)
Cette première étape me semble essentielle car elle trace les fondements d'une approche anthropologique dans la deuxième édition en préparation de ma dynamique sacramentelle. Elle rejoint ce que nous avons souligné chez Theobald.
Hans Urs von Balthasar, op Cit., Gc1 p. 380..
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