Quelques milliers de notes et réflexions interactives sur la vie et la foi, à partir de lectures souvent théologiques et à la lumière d'un Autre... Petit "blog" catholique d'un apprenti théologien (Bac canonique), perdu dans l'immensité de la toile... (ordonné diacre en septembre 2018)...
18 avril 2016
Le chant de l'amour
Gn 2 et Irénée
16 avril 2016
Ne me touche pas ?
15 avril 2016
Pour une vision positive de la sexualité - AL, note 11
Mais j'aime surtout quand il cite plus loin à nouveau Jean-Paul II : Le sens procréatif de la sexualité, le langage du corps et les gestes d'amour vécus dans l'histoire d'un mariage, se convertissent en "une continuité ininterrompue du langage liturgique" et la "vie conjugale devient en un certain sens, liturgie". (4)
(1) Amoris Laetitia 150
(2) ibid
(3) cf. Aimer pour la vie, essai de spiritualité conjugale
(4) Jean-Paul II , catéchese du 4 juillet 1984, nn 3.6, cité par le pape François AL 215, cf. Homme et femme il les créa, p. 30
14 avril 2016
Semina Verbi - AL - 8
Syntonie et Trinité
Se marier, ça vaut la peine - AL 10
Le festin de Babette dans La joie de l'amour - 9
13 avril 2016
La dimension sacramentelle - La joie de l'amour 7
Balancier ? - Les limites de l'exercice
(2) cf. Amoris Laetitia n. 13
(3) Pierre Teilhard de Chardin, L'évolution de la chasteté, p. 77 et 80, cité par Christophe Gripon p. 152
Famille et sacrement - La joie de l'amour 6
Le pape François reprend ce beau texte de Paul VI prononcé à Nazareth en 64 : "toute famille, malgré sa faiblesse, peut devenir une lumière dans l’obscurité du monde" (AL 66). Il parle bien sûr de la "sainte famille", mais je me doute que sous la plume de François, ses propos sont plus larges et sonnent comme une exhortation.
C'est ce qui apparaît dès le n.70, dans sa citation de Deux caritas est : “Le mariage fondé sur un amour exclusif et définitif devient l’icône de la relation de Dieu avec son peuple et réciproquement: la façon dont Dieu aime devient la mesure de l’amour humain ” (n. 11).
On rejoint ici ce lien particulier mis en avant par Éphésiens 5 et récemment commenté (cf tags).
C'est ce qu'on peut lire juste après :"Le Christ a (...) aussi élevé le mariage au rang de signe sacramentel de son amour pour l’Église (cf. Mt 19, 1-12 ; Mc 10, 1-12 ; Ep 5, 21-32). C’est dans la famille humaine, réunie par le Christ, qu’est restituée ‘‘l’image et la ressemblance’’ de la Sainte Trinité (cf. Gn 1, 26), mystère de tout amour." (AL 71).
Nous rejoignons là ce que j'ai longuement évoqué dans la "dynamique sacramentelle".
L'inconnaissable
À la suite de mes posts sur "l'inconnaissable divin", je tombe sur ce petit extrait de l'apologie de saint Justin qui entre en résonance : " personne n'est capable d'attribuer un nom au Dieu qui est au-dessus de toute parole, et si quelqu'un ose prétendre qu'il en a un, il est atteint d'une folie mortelle. Ces mots : Père, Dieu, Créateur, Seigneur et Maître ne sont pas des noms, mais des appellations motivées par ses bienfaits et par ses œuvres. Le mot Dieu n'est pas un nom, mais une approximation naturelle à l'homme pour désigner d'une chose inexplicable" (1)
On pourrait aussi rappeler l'hymne de saint Grégoire de Naziance... : A toi l'au delà de tout"...
(1) Saint Justin, première apologie, source : office des lectures du jour, AELF
12 avril 2016
Présence absence - 3
Une éthique positive
Réalité et défi de la vie familiale - Chapitre 2
On relira utilement le n. 53 sur la force de la famille.