Toujours selon Metz, la "forme de pensée" thomiste est anthropocentrique à la différence de la vision grecque. Dans une interprétation de l'homme-Jésus, cela conduit à voir le Christ non comme le logos immuable mais bien comme un homme vrai, capable de subjectivité et de mouvement intérieur... Et peut-être aussi de peur, pour continuer dans la discussion déjà entamée avec Phil. L
Metz, ibid p. 49
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