Irénée va semble-t-il plus loin en parlant de cette glaise modelée par les mains de Dieu et à laquelle est infusée le souffle. "Ce souffle, l'âme humaine, n'est pas l'homme, pas plus que le Saint-Esprit de la grâce n'est l'homme (...) le véritable homme est l'âme dans le corps et la grâce dans les deux (...) comme dans un temple (...) comme l'éponge à l'eau, la torche au feu, la vie à l'Esprit-Saint".
C'est peut-être là que mon concept de danse peut prendre corps.
(1) Irénée AH, 2, 335 et 2, 327 cité par Hans Urs von Balthasar, GC2 p. 57
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