A trop vouloir prendre la place, nous n'en laissons plus à Dieu et inversement s'il se fait petit et fragile, c'est pour que nous trouvions en nous la force de l'imiter. C'est bien une tension théologique qui est en jeu ici. A nous de contempler la tripe kénose trinitaire pour percevoir l'abaissement et l'enfouissement de Dieu en nous qui nous introduit dans sa danse.
(1) Marion Muller-Collard, Éclats d'Evangile, Paris, Bayard, 2017 p.22
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire