"Tu ne retiens pas Seigneur un coeur brisé et broyé" Ps 50,19
Comme le souligne D. Sibony dans Don de soi, partage de soi, p. 150, le coeur brisé c'est la brisure où l'âme pleine d'elle même s'ouvre à celui qui est étranger.
Je crois que c'est un peu le chemin tracé par ce blogue... La question demeure cependant, est-ce que la brisure est réelle, ou n'est-ce qu'une apparence d'ouverture. On retombe sur la question de la vanité déjà soulevée, mais aussi du masque, de l'apparence et surtout de cette indifférence que l'on porte à autrui (et je mets "on" comme je pourrais mettre je, mais suis-je le seul ?
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