Ne peut-on dire à l’aune des développements anciens sur l’hyperbole, que l’Ascension est en sens la véritable hyperbole ? Le Christ se révèle, s’incarne, puis se retire et ce retrait est ouverture pour nous. Ouverture dangereuse parce que notre interprétation peut se tromper, mais ouverture qui laisse une place à l’Esprit, qui prendra fonction d’interprète de ce chemin hyperbolique.
On aperçoit pour moi, là encore, le rôle kénotique de chacune des personnes divines.
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