La figure du Fils se place au centre pour Hans Urs von Balthasar « parce que, maintenant à côté de l’esthétique, c’est la dramatique divine qui s’insère dans l’expérience chrétienne totale. Le combat, qui donne toute l’histoire du monde, entre le libre infini qui est le bien, et la liberté finie qui peut choisir entre le bien et le mal, se récapitule dans la croix et son « envers », la descente aux enfers. Et c’est dans cette concentration que devient finalement visible le troisième volet, la logique, en vertu de laquelle la figure de Jésus peut se désigner comme la vérité. (1)
Ces termes sont probablement un peu fort, mais donnent à réfléchir.
(1) Hans Urs von Balthasar, Théologique III, L’Esprit de Vérité, p.195
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