"Considérant la sacerdoce non comme un honneur mais comme une charge, il se préoccupa d'abord de faire taire la jalousie par son humilité (...) il soulageait les pauvres, visitait les malades, leur offrait un asile, les consolait par ses douceurs, et pleuraient avec ceux qui pleurent. C'était la canne des aveugles, la nourriture des affamés, l'espoir des malheureux. (...) il a méprisé sa propre chair, parce qu'il marche tout paré de sa pauvreté, il découvre en son entier la vraie parure de l'Église" (1)
À contempler
(1) Saint Jérôme, lettre n°60 à Héliodore, éloge du prêtre Népotien, cité in Claude Ollivier, Jérôme, Paris, Les Éditions ouvrières, 1993, p. 56
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