La phrase citée dans La Croix du 1/2/17 ne cesse de faire écho en moi. " Le mal est un phénomène de surface. Nous résistons au mal en refusant de nous laisser submerger par la surface des choses. En nous arrêtant et en réfléchissant, c'est-à-dire en dépassant l'horizon du quotidien. Plus une personne est superficielle, plus elle est susceptible de céder au mal. C'est la banalité du mal."
Après le film et le reportage diffusé sur Arte sur Hannah Arendt le même jour (à voir en replay), on ne peut que s'interroger sur toutes ces petites superficialités qui nous empêchent d'aller au dela, de retrouver notre conscience intérieure perdue. À méditer.
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