Il y a « une tension entre le particulier et l'universel, entre l'un et le multiple, entre le simple et le complexe. Annihiler cette tension va contre la vie de l'Esprit ». Il s'agit par conséquent de pratiquer une forme de connaissance et d'interprétation de la réalité, à la lumière de la « pensée du Christ » (cf. 1Co 2, 16) dont le modèle de référence et de résolution des problèmes « n'est pas la sphère [...] où chaque point est équidistant du centre et où il n'y a pas de différence entre un point et un autre (1)», mais « le polyèdre qui reflète la confluence de tous les éléments partiels qui, en lui, conservent leur originalité » (2)
Nous avons déjà croisé plusieurs fois ce concept cher au pape. Il a là aussi sa place.
(1) Pape François, Veritatis Gaudium n.4d
(2) EG 236
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