
Peut-être que les derniers soubresauts de défense d'un cléricalisme viril et omnipotent, en se déconsidérant par leurs excès ouvrent la voix à une véritable révolution intérieure de l'Église, plus féminine sans excès, plus conviviale sans mièvrerie, plus évangélique sans perdre son âme et la structure qui en fait sa force...
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