En décrivant des expériences de participation à la souffrance du Christ, Thérèse d'Avila parle d'un tourment suffisant pour donner la mort mais ajoute qu'elle ne mérite pas un tel bonheur. "Cette soif de voir Dieu me fait oublier tout le reste, et ce désert, cette solitude, me paraissent préférable à toutes les compagnies du monde."
Ste Thérèse d'Avila, Livre de la vie, ch
20, &13, oeuvres complètes, tome 1, Cerf, 1995, p. 145
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