"Ce n'est pas toi qui portes la racine, mais (...) c'est la racine qui te porte" Rom 11, 18
Il nous faut prendre une fois encore le temps de contempler le travail de Dieu en nous. Nos oeuvres ne sont rien sans la dynamique trinitaire qui nous habite, nous fait grandir et fait jaillir de nous des signes qui dépassent toute nos finitudes.
Je rejoins ici ce qu'écrivait Balthasar "dans la figure lumineuse du beau, l'être de l'étant devient visible [en langage courant on pourrait traduire : le divin apparaît derrière l'homme] (...) [conduisant au] renoncement (à maîtriser et à abuser) pour pouvoir être saisi de joie (...) base et première lueur de (...) la révélation et de la grâce. (1)
L'allusion au saisissement nous ramenant à ce que nous avions souligné dans Phil 4.
(1) Hans Urs von Balthasar, la Gloire et la Croix, GC1, op. Cit p. 128
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