Je découvre sous la plume de B. Pitaud cette distinction entre "agis et actifs". Il nous faut, dit-il " nous laisser agir par le Christ. Ou encore : il faut le laisser agir en nous. Il y a au coeur de l'action du chrétien une passivité fondamentale, un abandon nécessaire au dynamisme de l'Esprit". Ce qu'il décrit à propos de Madeleine Delbrêl est pour lui au coeur de l'école française, inspiré par l'ouvrage d'Henri Brémond. Cette tradition sulpicienne rejoint ce que je travaille en ce moment sur le titre déjà esquissé ici de "Chemins d'humilité".
C'est rappelle-t-il aussi une vision très paulinienne et j'ajouterai très kénotique : "ce n'est plus moi qui vis, c'est le Christ qui vit en moi" Gal. 2. 20
Gilles François / Bernard Pitaud, Madeleine Delbrêl, Poète, assistante sociale et mystique, op Cit p. 141
C'est rappelle-t-il aussi une vision très paulinienne et j'ajouterai très kénotique : "ce n'est plus moi qui vis, c'est le Christ qui vit en moi" Gal. 2. 20
Gilles François / Bernard Pitaud, Madeleine Delbrêl, Poète, assistante sociale et mystique, op Cit p. 141
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