Je poursuis ma lecture de "Urgences pastorales". Une tension intéressante est mise en lumière par Théobald : quitter l'illusion d'une "Église parfaite" pour la concevoir comme "sacrement universel du salut" (1) Il mériterait de préciser le sens du mot universel qui peut exclure les semences du verbe. Mais cette dynamique sacramentelle(2) rejoint mes travaux de recherche. Elle porte une espérance qui touche la nature même de l'Église, sa capacité intérieure à se transformer, à être signe.
(1) Christoph Théobald, Urgences Pastorales, Paris, Bayard, 2017, p. 58
(2) cf. mon livre éponyme
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