La parabole rapportée par Luc nous fait prendre conscience que nos vies, notre travail n'a de sens que parce tout est d'abord don de Dieu.
C'est dans la contemplation des dons reçus que nous pouvons avancer et faire fructifier cela.
Notre travail n'est pas alors le seul fruit de nos mains, il est participation, construction active à quelque chose de plus grand.
Plus encore, comme le dit Jean Paul II, « dans le travail de l'homme, le chrétien retrouve une petite part de la croix du Christ et l'accepte dans l'esprit de rédemption avec lequel le Christ a accepté sa croix pour nous. Dans le travail, grâce à la lumière dont nous pénètre la résurrection du Christ, nous trouvons toujours une lueur de la vie nouvelle, du bien nouveau (...) auxquels participent l'homme et le monde précisément par la peine au travail. » (1)
(1) Saint Jean-Paul II, Encyclique Laborem exercens, 27 (trad. © copyright Libreria Editrice Vaticana)
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