S'il nous était donné de contempler physiquement cette prière elle aurait la forme d'une dépression cyclonique avec au centre la Croix glorieuse...
Comme un souffle fragile venant rejoindre le vent de l'Esprit pour remonter au Père et redescendre comme la pluie qui féconde au cœur de chacun l'espérance du Royaume...
Serviteurs inutiles (lc 17, 10) mais membre d'un corps dont nous sommes les pierres vivantes.
Sable immense d'une plage que Dieu caresse de ses vagues amoureuses.
(1) Hans Urs von Balthasar, la prière contemplative, op. cit. p. 88
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