L'unité se travaille tous les jours, par une déchirure du coeur.
Mon coeur est capable de t'accepter différent, mais pas trop.
Je me sens si proche de toi ami protestant.
J'aime goûter comme toi à la Parole...
Mais toi, l'autre, le différent, tu me fais peur.
Comment faire pour qu'au delà de la blessure de notre séparation,
nous trouvions un chemin pour rester uni à la vigne véritable...
Comme le disait St Cyprien, l'unité, c'est comme la tunique du Christ, on ne peut la déchirer...
Mais quel chemin...
Chemin de dialogue, de respect, d'écoute, d'attention où l'autre est autre.
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