Le texte d'hier continue de me marquer... Suis-je une outre neuve capable d'accueillir le message, où est-ce que je reste gentiment engoncé dans le confort de ma vie, dans le non questionnement.
Je pense qu'il faut un grand décentrement pour arriver à devenir une outre neuve, capable d'accueillir à chaque fois la parole comme un bouleversement, une révolution intérieure.
Accueillir la parole ou accueillir l'autre, qui m'interpelle et en même
temps me dérange.
Combien de fois quand je suis interpellé par l'autre, le proche, je serre les dents, détourne le regard.
Il reste un chemin à faire.
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