Il semble que je m'oriente vers une vision qui favorise la "toute-faiblesse" de Dieu. Un Dieu qui pousserait son amour de l'homme au point de s'effacer dans le silence.
cf. 1 Rois 19 : "Le bruit d'un fin silence"
ou Le silence du Christ pendant la passion (à 7 paroles près, et quelles paroles...)
Dans difficile liberté, E.Lévinas disait que le monde aurait accès à la lumière quand l'Eglise arrêtera de la cacher...
Un chemin ?
Certains pensent que c'est une erreur...
Je cherche...
Certes on a besoin de lumière et de repères...
Mais peut-on être forcé sur une voie avant d'avoir été saisi au coeur par un amour infini qui nous ébranle et nous pousse à ce décentrement...
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