« Plus l’amour est plus vrai plus il est joyeux dans toutes les souffrances. Tout amour, même l’amour terrestre et corporel peut être une vraie joie s’il ne se referme pas dans l’égoïsme mais s’ouvre à Dieu » (1)
Le danger serait d’interpréter cela comme une incitation à la souffrance. Il me semble au contraire, que cela ne peut être qu’une relecture, à l’image de ce beau poème brésilien. Au cœur des souffrances qui traverseront notre vie, Dieu est là, il nous porte dans ses bras et ce n’est qu’in fine que nous en percevons la grâce…
(1) Adrienne von Speyr, Jean D II, p. 33
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