Je continue bon an mal an, ma lecture de l'oeuvre de Walter Kasper avec un cinquième petit ouvrage(1) rédigé à l'occasion du synode en cours sur la famille.
Je m'arrête sur un petit passage page 36 qui rejoins ce que j'écrivais déjà dans chemins croisés sur Matthieu 19 :
"On ne doit pas comprendre la parole de Jésus de façon isolée, mais dans l'ensemble de son message relatif au règne qui vient. Jésus ramène le divorce à la dureté du coeur (Mat 19, 8) qui se ferme à Dieu et à l'autre. (...) de même que l'adultère commence dans le coeur (Mat 5, 28), ainsi la guérison n'est possible que par la conversion et par le don du coeur nouveau. C'est pourquoi (...) il accorde le pardon à une femme accusée d'adultère (Jn 8, lc 7, 36-50)"
Je souscrit à sa thèse et reviendrai sur ce point dans mon essai sur la dynamique sacramentelle... car c'est bien encore ee cela qu'il s'agit.
(1) Walter Kasper, l'évangile de la famille, Paris, Cerf, 2014
(2) op. Cit. P. 36
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