Le stade esthétique (Kierkegaard) ne sert à rien, s'il n'est dépassé par une mise en oeuvre de l'être, prêt à refléter véritablement cette figure du bien qui s'est révélée à lui dans la foi. "Cette compréhension commençante de la figure" doit être comprise "dynamiquement" (1) à travers "joie et souffrance, insouciance et ascèse" dans un "équilibre sans faute" (2)
Cette foi peut alors être prise dans la grâce, devenir une force d'attraction, une victoire du Christ sur nos impuissances humaines, chemin de conversion véritable.
(1) Hans Urs von Balthasar, GC1, op Cit p. 159.
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