Ce qu’il dit sur la formation de passeur (p.329sq) la manière de susciter des charismes (332) et de les conforter, l’art d’une
communauté à construire, la formation duelle entre prêtres et laïcs (338sq) me semblent essentiel et j’invite les lecteurs lassés par les 302 premières pages de considérations liminaires (utiles pourtant au chercheur) à sauter au coeur du sujet. Ici se déploie cette pastorale d’engendrement qui faisait déjà la force des premiers écrits du « maître ».
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