Dieu est tout mais il n'est pas l'autre mais le Non-Autre (cf. Nicolas de Cuse dans Chemins). Nous devons tout, y compris notre liberté au Tout de la liberté divine mais pour lui nous ne sommes pas des autres parce que nous sommes en lui et il n'est pas autre, mais bien au-delà de l'autre proche. C'est pour Balthasar un paradoxe inévitable et à la fois saisissant. Je pense que je n'ai pas fini d'en découvrir le sens...
(1) Urs von Balthasar, ibid p. 165
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