"S'il y a en moi une certitude inébranlable, c'est qu'un monde déserté par l'amour ne peut que s'engloutir dans la mort, c'est aussi que là où l'amour persiste, là où il triomphe de tout ce qui tend à le dégrader, la mort ne peut pas ne pas être en définitive vaincue." (1) On retrouve cette espérance du Cantique des cantiques : "l'amour est fort comme la mort". Je ne sais d'ailleurs, si depuis la résurrection du Christ, on ne pourrait pas traduire cette espérance de l'Ancien Testament en "plus fort que la mort"...
Cela fait revivre en moi les admirables pièces de Gabriel Marcel que sont L'Iconoclaste, Le Fanal, Le mort de demain...
G. Marcel cité par Urs von Balthasar, ibid p. 327
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire