Fridolin Wiplinger : "Si je découvre dans l'amour mon être-moi que comme être-avec, ce devrait en être fini de celui-ci tandis que je continue de vivre physiquement. Dans son essence, l'amour est un amour jusqu'à la mort précisément parce qu'il est toujours incarné (...) Le caractère inconditionnel de l'amour personnel dans la pureté du "pour toi" en tant que but suprême de l'option de vie exige finalement de placer tout, c'est à dire la vie entière sous ce jour, de la prodiguer, de l'offrir et le cas échéant de l'abandonner. (...) Il est temps que les chrétiens s'arrachent enfin à la nuit métaphysique grecque impersonnelle "pour enfin peut-être commencer à avoir le regard libre pour l'être personnel de l'homme et une compréhension personnelle de sa vie, de son agonie et de sa mort, à partir de celle de Jésus Christ et de sa résurrection" Das Personal Verstande Tod (Fribourg/Br Munich 70)
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(1) cité par Urs von Balthasar, ibid p. 327
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