La solitude serait-elle commune à tout homme et ce jusqu'à la mort. Solitude foncière de l'homme qui malgré la course au relationnel traduit un manque de sens, de direction ?
La solitude serait-elle la faille dans le coeur de l'homme qui ouvre à la transcendance ?
Ou est-elle, comme le suggère Abel, une fuite du réel, un refus de s'engager dans la vie, une peur de l'autre...
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